Apple encourage ses utilisateurs à souscrire un abonnement à Apple Music

Il n’est plus question d’iTunes Radio en gratuit. Les utilisateurs seront contraints de souscrire à Apple Music pour pouvoir l’utiliser. Une façon pour Apple d’attirer de nouveaux adhérents à son service payant.

Fin de partie pour iTunes Radio en gratuit

Dès le 28 janvier, le service de streaming musical d’Apple ne sera plus proposé gratuitement. Il va être associé à son service premium, Apple Music, mis en marche en juin dernier. Il n’ya que Beats 1, un service identique à iTunes Radio, qui sera accessible gratuitement.

Apple améliore le pack d’Apple Music.

Le catalogue musical d’Apple, sera renforcé par des radios d’Apple Music et immédiatement celles d’iTunes Radio. Cette union des services pourrait encourager de nouveaux utilisateurs à s’abonner à son service de musique. Il est utilisé aujourd’hui par près de 10 millions souscripteurs, qui ont maintenant deux types de abonnements proposés à 10 euros ou 15 euros, respectivement pour le service solo et celui en famille.

Avec l’ajout d’iTunes Radio à Apple Music, la France devrait enfin pouvoir utiliser ce service. Dévoilé en 2013, iTunes Radio était utilisé États-Unis et à l’Australie. Sa formule demeure «classique». Elle apporte aux utilisateurs une variété stations et playlists musicales de façon gratuite. Un mode de fonctionnement facilité par le financement des revenus publicitaires d’iTunes Radio. Pourtant, la concurrence (Pandora, Spotify, Deezer) propose aussi un contenu identique.

Apple améliore son image premium

En révolutionnant sa stratégie, la firme de Cupertino qui progressivement du monde de la publicité. Depuis quelques jours, l’entreprise avait annoncé qu’elle arrêtait sa régie publicitaire iAd, dans quelques mois, permettant aux entreprises d’ajouter directement leurs publicités dans les applications. Néanmoins, iAd n’a pas été une réussite. De même, Apple essaierait certainement d’affermir son image «premium» en diminuant ses services gratuits payés par la publicité et en s’accentuant sur son côté qualitatif, mais onéreux.